Une stabilité qui calme. J’ai vu ce tableau à l’exposition “Où sont les femmes” du palais des beaux arts de Lilles. Dans un monde décousu des formes géométriques bien placées, imbriquées les unes dans les autres. Une promesse d’un monde moins bordélique.
J’aime bien cette petite fille au sourire espiègle. La flêche rouge est un signe que Jeff utilise un peu partout. De ses lectures jailli la créativité, une force dans ces couleurs qui s’échappent, comme si un peintre fou jettait de son pinceau des effusions de gouache, un peintre déchainé.
J’ai prise cette photo après une longue journée d’un stage, j’étais déroutée, je ne comprenais rien à ce qu’il fallait faire . Et dans ces moments où je suis lasse je regarde la lune. Ici elle est alignée avec les mécaniques urbaines, un tricolore que l’ont voit aussi posé sur le sol mouillé.
J’ai vu cette peinture au musée de la photographie, pendant l’exposition Maya Rochat. Elle prenait des photos d’arbre, de fleurs, sous marines même, puis elle balançait de la javel dessus. Où des photos holographiques. Je trouve ça juste magnifique.
Tyger Tyger, burning bright,
– William Blake, Songs of Experience
In the forests of the night;
What immortal hand or eye,
Could frame thy fearful symmetry?
In what distant deeps or skies,
Burnt the fire of thine eyes?
On what wings dare he aspire?
What the hand, dare seize the fire?
And what shoulder, & what art,
Could twist the sinews of thy heart?
And when thy heart began to beat,
What dread hand? & what dread feet?
What the hammer? what the chain,
In what furnace was thy brain?
What the anvil? what dread grasp,
Dare its deadly terrors clasp!
When the stars threw down their spears
And water’d heaven with their tears:
Did he smile his work to see?
Did he who made the Lamb make thee?
Tyger Tyger burning bright,
In the forests of the night:
What immortal hand or eye,
Dare frame thy fearful symmetry?